Des articles

corrélation pour chaque

paire de variables

  • . La gestion, la programmation et les analyses des données ont été réalisées à L’aide de SAS® Version 9.4. L’étude a obtenu l’approbation éthique du Comité D’éthique de la recherche de l’Université du Manitoba (référence du protocole: H2018:438 (HS22337)). Résultat En utilisant un échantillon pondéré de 27 425 répondants avec des poids d’échantillonnage bootstrapped pour rendre les données représentatives à l’échelle nationale de la population canadienne, le taux de prévalence de la cyber-victimisation au
  • cours des 12 santé derniers mois était de 2,1% chez les immigrants et de 2,3% chez les non-immigrants, respectivement (Tableau 1). Dans des analyses non ajustées, les immigrants et les non-immigrants victimes de cyberintimidation avaient tendance à être célibataires, à vivre avec un handicap, à avoir un problème de santé mentale, à avoir des antécédents de maltraitance d’enfants, à avoir subi de la discrimination et à résider dans des santé

quartiers perçus comme peu accueillants ou discriminatoires. De plus, les immigrants exposés à la cyber-victimisation étaient plus susceptibles d’être une minorité non visible que ceux qui n’étaient pas exposés, tandis que parmi les non-immigrants, les personnes exposées étaient plus susceptibles d’être plus jeunes, d’avoir un revenu plus faible, de ne pas avoir terminé leurs études secondaires, d’avoir des antécédents de VPI, d’avoir moins d’amis ou de parents proches et de vivre dans un quartier caractérisé par une plus grande méfiance à l’égard des voisins. De plus, dans des analyses non ajustées, les immigrants victimes de cybercriminalité étaient significativement plus susceptibles que les non-immigrants d’être des hommes (POR 0,56, IC à 95% 0,37, 0,85) (valeur p pour l’interaction entre le statut santé

d’immigrant et le sexe: 0,008), d’avoir déjà subi des mauvais traitements envers des enfants (POR 0,52, IC à 95% 0,33, 0,80) et d’avoir un plus grand réseau d’amis et de parents proches (POR 0,59, IC à 95% 0,38, 0,92) (tableau 2). Tableau 1 Caractéristiques pondérées de L’échantillon stratifiées selon le statut D’Immigrant et la cyberintimidation, Enquête sociale générale, Canada, 2014 Pleine taille de la table Tableau 2 Associations Bivariables de facteurs individuels, interpersonnels et de voisinage avec la cyberintimidation Pleine taille de la table Cyber-victimisation et statut d’immigration Dans les modèles ajustés multivariables stratifiés par statut d’immigration (Tableau 3), les facteurs associés positivement à la cyber-victimisation chez les immigrants (Modèle 1) comprenaient le fait d’être un homme, d’être célibataire, de déclarer un problème de santé mentale, d’avoir des antécédents de maltraitance d’enfants et de résider dans un quartier peu accueillant. Les résultats pour les non-immigrants (Modèle 2) ont montré une tendance différente, où le fait d’être un homme n’était pas associé à la cyber-victimisation, les associations avec la maltraitance des enfants, la santé mentale et le statut de célibataire étaient moins santé

prononcées, et d’autres facteurs

  • , y compris le VPI passé, le fait d’être victime de discrimination et de La cybervictimisation n’était pas associée au statut de minorité visible dans les deux groupes. Tableau 3 ratios de probabilités de prévalence ajustés multivariables des facteurs associés à la cyberintimidation selon le statut D’Immigrant Pleine taille de la table Cyber-victimisation, statut d’immigrant et sexe Dans les modèles ajustés multivariables stratifiés selon le statut d’immigrant et le sexe (Tableau 4), les antécédents de maltraitance des enfants et de
  • résidence dans un quartier peu accueillant sont demeurés des prédicteurs stables de la cyber-victimisation chez les femmes et les hommes immigrants. Les différences entre les femmes immigrantes (Modèle 3) et les hommes immigrants (Modèle 4) comprenaient un problème de santé mentale, qui était associé à la cyber-victimisation chez les hommes immigrants seulement, et le fait d’être plus jeune et de consommer de faibles niveaux d’alcool (vs. santé

s’abstenir), et être victime de discrimination, qui étaient uniquement associées à la cyber-victimisation chez les femmes. Chez les non-immigrants, même s’ils avaient un problème de santé mentale, étaient victimes de discrimination et que le VPI passé demeurait un facteur prédictif important pour l’ensemble des sexes, les femmes non immigrantes victimes de cyber-victimisation étaient plus susceptibles d’être plus jeunes et d’avoir moins d’études secondaires (modèle 5), alors que chez les hommes non immigrants (Modèle 6), la cyber-victimisation était positivement associée au fait d’être célibataires, d’avoir des antécédents de maltraitance d’enfants et de résider dans un quartier perçu comme discriminatoire. Tableau 4 ratios de probabilités de prévalence ajustés multivariables des facteurs associés à la cyberintimidation selon le statut D’Immigrant et le sexe Pleine taille de la table Discussion Dans un vaste échantillon représentatif à l’échelle nationale de santé

personnes âgées de 15 ans et plus vivant au Canada, nous avons constaté une prévalence similaire de cyber-victimisation chez les immigrants et les non-immigrants. De façon significative, alors que la plupart des facteurs associés à la cyber-victimisation étaient similaires entre les deux groupes, nous avons constaté des différences importantes selon le statut d’immigrant et plus loin dans les sous-groupes définis par sexe. Cyber-victimisation et statut d’immigrant Au niveau individuel, la cyber-victimisation était positivement associée au fait d’être un homme chez les santé  immigrants, et n’était pas associée au fait d’être un homme (ou une femme) chez les homologues nés au Canada. Les résultats ont également montré une forte association entre la cyber-victimisation et les antécédents de maltraitance des enfants, ce qui était le plus notable chez les immigrants. De plus, au niveau interpersonnel, bien que nous ayons constaté que le fait d’avoir des antécédents de santé

VPI était fortement associé

  • à la cyber-victimisation chez les non-immigrants, il n’y avait santé aucune preuve d’association entre les immigrants. De plus, au niveau du quartier, nous avons constaté que le fait de percevoir résider dans un quartier peu accueillant, plutôt que des facteurs individuels ou interpersonnels, était associé à la plus forte association santé  à la cyber-victimisation chez les immigrants, et nous n’avons pas trouvé de preuve d’une tendance similaire chez les non-immigrants. Cyber-victimisation, statut d’immigrant et sexe Au niveau individuel, chez
  • les femmes immigrantes, nous avons constaté que celles qui étaient victimes de cyber-victimisation avaient tendance à avoir des chances significativement plus élevées d’être plus jeunes, une tendance qui a également été observée, mais à un degré moindre, chez les femmes non immigrantes. De plus, les résultats ont montré une association positive entre la cyber-victimisation et un problème de
  • santé mentale chez les hommes immigrants, qui était également évidente chez les hommes et les femmes non immigrants, mais particulièrement absente chez les femmes immigrantes. De plus, au niveau interpersonnel, nous avons trouvé des preuves d’une forte association entre la cyber-victimisation santé

et la discrimination perçue chez les femmes immigrantes, ce qui était beaucoup plus modeste chez les groupes non immigrants et absent chez les hommes immigrants. Le lien entre la cybervictimisation et le fait d’être un homme chez les immigrants suggère une vulnérabilité différentielle entre les hommes et les femmes immigrants, ce qui est conforme aux résultats d’une étude précédente sur les jeunes d’âge scolaire qui a montré de la même manière que les hommes immigrants avaient plus de risques de cyberintimidation et d’autres formes d’intimidation que les femmes [11]. Il est possible que cette tendance reflète les processus par lesquels les expériences de réinstallation peuvent contribuer différemment au risque de cyberintimidation chez les hommes immigrants par rapport aux femmes. Une explication pourrait être que l’augmentation de la migration vers le Canada à partir de pays d’origine où les normes de genre sont plus susceptibles de différer de celles du Canada, crée une vulnérabilité accrue pour les hommes immigrants caractérisée par une combinaison de conditions stressantes, y compris moins d’acceptation sociale et de détresse émotionnelle, qui, comme la victimisation “traditionnelle” santé

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